Mbouo-Mbouo a perdu ses parents très tôt. Introduit dans une famille n’ayant aucun bien avec la sienne, il grandit ayant perdu toutes les traces de ses parents et ne reconnait que Tchoussa, un vieux paysan chez qui il a grandi. Mbouo-Mbouo, sans instruction, ni carte nationale d’identité, ni acte de naissance ; décide aller se chercher en ville. A son arrivée, il rencontre Jago, un chargeur à la gare routière, avec qui ils vont nouer des amitiés. Mbouo-Mbouo dans son statut d’homme non identifié, va connaitre beaucoup de difficultés, confrontation avec la sécurité publique où il passera des jours en cellules, tantôt et usage de faux pour faux acte de naissance. Recruté comme vigile à l’hôtel de monsieur Ibrahim, le maitre d’hôtel, monsieur Nyobe aura de la considération pour lui. Mais sa tête ne va pas plaire à Ibrahim qui demandera qu’on le renvoie. Cette situation va coûter le poste de travail de Nyobe. Quelque temps après, au cours d’un rêve, les grands parents de Mbouo-Mbouo vont se révéler à lui, et l’amener à se lancer dans les enquêtes sur ses origines. Grace à un vieil homme, Mbouo-Mbouo sera au courant de qui il est, et qui furent ses parents. Le jour où il se retrouve au commissariat, son nom se retrouve mentionné dans un testament retrouvé chez un notaire tué par Ibrahim. Il ressort que Mbouo-Mbouo est l’héritier de Dam Moussa, Propriétaire de l’hôtel dirigé par Ibrahim. Il entrera en possession de ses biens, et Ibrahim va se retrouver incarcéré pour meurtre. Autour de cette histoire se greffent d’autres histoires intéressantes.